BUCK
est un sextet composé de SIMON GIRARD trombone, NICOLAS MONDON guitare, LEO OUILLON sax ténor & flûte, YANN PAULET sax bar & alto , THOMAS PIERRE batterie, NANS PAULET tuba.
C’est en 2021 que le sextet de BUCK voit le jour sur la scène Lyonnaise. Chez Buck, la simplicité́ et la sauvagerie radicales indiquent le chemin, mieux que n’importe quel GPS. L’ensemble révèle une évidente énergie rock, une musique explosive et cinématographique dans laquelle des cuivres improvisateurs se confrontent aux guitares sur-amplifiées et psychédéliques.
Nans Paulet, Léo Ouillon et Yann Paulet sont des musiciens qui ont grandi dans les écoles de musique du Mezenc-Loire-Meygal, de l’atelier des arts et dans les différents stages de jazz du festival du Monastier. On a pu les entendre dans des formations diverses et variées comme les harmonies du Monastier, de Saint Maurice de Lignon, NMB Afrobeat Experience (ex No Mad Band), The Freaks, Kunta, Loopzilla, Jazz en Velay, Sabaly, Kady Diarra, Gaël Horellou Quintet et Identité.
En 2012, ces trois musiciens se réunissent dans le but de créer une formation atypique, capable de jouer sur toutes les scènes et dans tous les lieux. Une formation souple qui pourra accompagner conteurs, danseurs, acteurs ou encore assurer des performances de jazz ou de musique à danser. Le pari s‘accomplit lors de deux tournées d’été en 2012 et 2013 en Haute Loire. Les trois performeurs partagent alors la scène avec Steve Paulet danseur contemporain, l’illustrateur Jonathan Bousmar, les ateliers du Chat Botté ou encore des grands noms du Jazz comme Simon Girard ou Gael Horellou.
En 2020, les trois musiciens relancent le projet et assument dès lors des compositions originales dans un combo agrandi. Derrière cette résurrection, il y a l’arrivée de Thomas Pierre (Ukandanz) à la batterie, Simon Girard (Le Peuple de l’Herbe, François Corneloup, Eric Prost XXL) au Trombone et Nicolas Mondon (Leroy Burgess, Babylon Circus, NMB Afrobeat Experience) à la guitare électrique. Chaque projet se justifie. Le foisonnement musical que les compères cultivent dans de nombreuses formations élargit leur spectre musical. Le but est simple : jouer la musique qu’ils aimeraient entendre s’ils allaient au concert. L’inspiration et la création sont alors sans limites.
